Homme et Bête
Homme et Bête
Extrait de Votre Héritage
Notes critiques de Clifton A. Emahiser
Dans ces leçons, nous avons pris l’habitude de fréquemment passer en revue les évènements courants en détail, car ils nous montrent l’accomplissement des prophéties bibliques à notre époque. Cependant, en couvrant le sujet que je désire maintenant discuter, je n’aurai pas beaucoup l’occasion de lister ces évènements en détail, et ce pour une raison précise. Il y a des fois où il n’est pas aussi important de compter chaque perle d’un fil que de constater que celles-ci sont toutes reliées au même fil. Quand vous apprenez cela, vous savez où regarder pour la perle suivante. Mon objectif est de démontrer l’existence de certains principes précis qui gouvernent les évènements que nous observons, et que ce sont les mêmes principes qui les ont gouvernés depuis des milliers d’années.
Pendant des millénaires, tout le monde savait que des nations et des races variées possédaient certaines caractéristiques qui étaient démontrées par les actions mêmes de ces peuples. Il y avait de rares exceptions, et ces exceptions servaient de preuve à un certain type d’esprit pour démontrer qu’il n’existe pas de règle générale. Mais l’exception ne fait que prouver la règle. Nous pouvons noter par exemple, que parmi les corbeaux, un individu sur 38 millions est blanc ; c’est un albinos. Mais ce fait ne fait que souligner la règle selon laquelle tous les autres corbeaux sont noirs. Une conduite raisonnablement consistante peut donc être identifiée comme étant la règle, sans tenir compte d’une occasionnelle exception qui nous surprend lorsque nous la constatons.
Parmi les anciens, personne ne prétendait ignorer les caractéristiques des Babyloniens, des Égyptiens, des Assyriens ou des Romains, ou ce qu’ils faisaient d’habitude en vue d’arriver à leurs objectifs. L’habileté militaire romaine dans la guerre, ainsi que la dureté dans leur gouvernement sur les peuples conquis étaient bien comprises, et personne n’était surpris de les constater dans la réalité. La férocité extrême et la cruauté des Assyriens étaient connues de tous. Des siècles d’histoire ont démontré la consistance de ces caractéristiques, que seul un fou peut ignorer.
À notre propre époque, quand j’étais jeune, tout le monde comprenait que les Japonais sont un peuple guerrier et qu’ils l’avaient été depuis deux mille ans. Seul l’ignorant ou l’imbécile furent donc surpris d’apprendre que le Japon désirait conquérir beaucoup d’autres nations. Cependant, nous eûmes à apprendre par une terrible expérience de première main que les Japonais possèdent également les caractéristiques asiatiques de traîtrise et de cruauté gratuite. Cette cruauté n’est pas uniquement japonaise, elle est typiquement asiatique. Nous voyons les mêmes traits affichés par l’Armée Rouge Chinoise dans le traitement qu’elle inflige au peuple du Tibet, ainsi que dans leur cruauté pour nos propres soldats lorsqu’ils les capturent.
Durant les deux premières guerres mondiales, un bizarre peuple d’étrangers appelés Juifs, qui sont tellement occupés à nous laver le cerveau aujourd’hui afin d’accomplir leurs propres buts, nous bombardèrent littéralement de leur propagande, dans le but de nous convaincre de nombreux mensonges hideux sur les Allemands. D’après ces mensonges, nous devions croire que les Allemands sont des êtres si fondamentalement mauvais qu’ils se préparaient à envahir Beverly Hills ou Las Vegas! Puis ces Juifs nous enseignèrent que des caractéristiques raciales inhérentes se manifesteraient dans leur conduite lorsque la situation se présenterait. Mais aujourd’hui, ce groupe minoritaire d’étrangers juifs nous enseigne, en corrompant la plupart de nos écoles, de nos journaux, de nos commentateurs médiatiques et même de nos églises, qu’il n’existe plus de caractéristique ou de tendance raciales, plus aucun objectif national de longue portée. Ces Juifs veulent nous faire croire que tous les peuples du monde — Blanc, Noir, Jaune ou Brun, civilisé ou sauvage — sont exactement les mêmes, aussi interchangeables que des pièces détachées d’une voiture Ford. Ils ont dépensé des millions de dollars dans des campagnes de propagande très pointues destinées à nous rendre aveugles sur les caractéristiques et buts raciaux et nationaux qui font le cours de l’Histoire aujourd’hui, comme ils ont fait le cours de l’Histoire depuis toujours. Nous ferions mieux de nous demander : qu’y a-t-il de tellement important pour eux, pour qu’ils dépensent autant d’argent pour cela? Comment espèrent-ils donc récupérer un tel investissement?
Nous pouvons avoir une meilleure perspective sur les affaires contemporaines si nous les voyons comme la continuation de milliers d’années d’une Histoire ininterrompue, si nous examinons non seulement ce qui s’est passé, mais aussi pourquoi cela s’est passé. Rien d’important n’arrive par accident. Pour chaque conséquence, il existe une cause. L’Histoire est habituellement écrite comme une suite d’effets, et c’est pourquoi nous n’apprenons en général aucune leçon d’elle. Nous ne comprendrons jamais l’Histoire à moins de rechercher aussi les causes des évènements.
L’Histoire passée, les évènements actuels et ceux du futur sont tous les résultats des actions des gens. Que leurs actions soient bonnes ou mauvaises, les gens font ce qu’ils font parce qu’ils sont ce qu’ils sont : le type de personnes qui font des bonnes ou des mauvaises choses. La conduite est le produit du caractère. L’homme qui est bon et confiant par nature ne devient pas un Jack l’éventreur ou un violeur d’enfant, sa propre nature le lui défend. L’homme qui, par nature, est cruel et malhonnête agira, tôt ou tard, selon ce qu’il est. Le mat ne devient pas brillant juste parce qu’il a reçu la permission légale de le faire. Du fait que les nations et les races sont juste un grand nombre d’individus, elles affichent les traits caractéristiques de la majorité de leurs éléments. Si donc nous pouvons apprendre quelque chose sur le type de gens qu’ils sont, cela peut nous aider à comprendre leurs actions, et même à savoir à quoi nous attendre d’eux dans le futur.
Les hommes, dans leurs propres buts, procèdent à des classifications diverses de choses et de gens. Mais habituellement, la conclusion qu’ils espèrent atteindre dicte la classification qui répondra le mieux à cette conclusion ; le résultat est gâché par des vœux pieux. D’un autre côté, Yahweh, qui voit toute l’éternité d’un seul coup d’œil, révèle Ses propres vérités aux hommes ; nous devons donc examiner la Bible. Dans les Écritures, nous constatons que Yahweh a classifié plusieurs différentes sortes d’êtres, que nous rassemblons de façon indiscriminée sous le terme d’homme. Yahweh distingue entre ces différentes sortes en utilisant des noms différents pour les désigner. Examinons ces termes et voyons si les différents noms utilisés possèdent une certaine signification quant au type d’être qu’ils désignent, quant au niveau de caractère et de compréhension spirituelle que l’on trouve dans ces divers type d’êtres.
Plusieurs mots hébreux différents ont été traduits sans aucune discrimination par le terme «homme» dans la King James Bible, alors que des différences très importantes dans la signification de ces mots sont clairement démontrées. Premièrement, considérons le mot qui désigne notre Race Blanche. Le mot hébreu Awdawm, traduit par Adam dans nos Bibles, vient d’une racine qui signifie «être de complexion rosée, dont le sang est visible dans le visage», une définition qui ne peut évidemment pas s’appliquer à des nègres ou à des mongols mais uniquement à la Race Blanche. Lorsqu’il est utilisé pour désigner le premier Homme Blanc, Adam, l’hébreu est toujours Awdawm. Lorsqu’il est utilisé pour désigner ses descendants, l’hébreu est Awdawm, mais la King James traduit homme.
Un autre mot, utilisé en contraste à Awdawm, est Enosh, qui est toujours utilisé dans un sens péjoratif. La signification de sa racine est «mortel» et implique la faiblesse, physique ou morale, la misère. Ce mot est employé pour les races non-Adamiques, qui sont bien sûr toutes pré-Adamiques. Il faut noter que les races pré-Adamiques ne se limitent pas juste à certaines zone géographiques de notre planète ; certaines d’entre elles se trouvent mélangées aux Adamiques.
Un troisième mot hébreu traduit par «homme» est ish, qui signifie littéralement «une personne mâle», ou «un mari». Ce mot est utilisé pour l’humanité en général et peut s’appliquer aussi bien à un Adamique qu’à tout autre pré-Adamique. La forme féminine est isha, dont la forme plurielle est naw-sheem. Ce pluriel est tellement similaire au pluriel de enosh, anashim, que ces mots ont souvent été confondus, donnant lieu à bien des erreurs de traduction.
Il existe trois autres mots reliés : gheh-ber, gheb-ar et ghib-bawr, qui sont tous dérivés d’une racine signifiant «être fort». Ils sont habituellement traduits par «homme puissant» ou «guerrier». Ces trois derniers mots ne pouvant donner lieu à aucune confusion, nous n’avons pas besoin de nous en occuper ici.
Examinons maintenant quelques exemples de l’utilisation de ces mots dans la Bible. En lieu et place du mot «homme», j’utiliserai le terme hébreu originel. Ézéchiel 34:31 dit :
Et vous, mon troupeau, le troupeau de ma pâture, vous êtes Awdawm ; moi, je suis votre Dieu, dit Yahweh.
Psaumes 115:16 déclare :
Les cieux sont les cieux de Yahweh, mais il a donné la terre aux fils d’Awdawm.
Notez comme Yahweh utilise Awdawm et Enosh en contraste. Prenons Psaumes 90:3, par exemple :
Tu fais retourner Enosh à la destruction, et tu dis : retournez, fils d’Awdawm.
Tandis que la destruction est promise aux pré-Adamiques Enosh pour leur méchanceté persistante, Yahweh rappelle les enfants d’Awdawm en Lui-même dans la repentance.
Yahweh fait la distinction entre Awdawm et Enosh en beaucoup d’endroits. Par exemple Psaumes 8:4 :
Qu’est-ce qu’Enosh, que tu te souviennes de lui, et le fils d’Awdawm, que tu le visites?
Notez que bien que Yahweh soit conscient de ce que font les Enosh, ce sont les enfants d’Awdawm que Yahshua visita lorsqu’Il vint sur la Terre. Les deux groupes raciaux doivent être disciplinés, mais la distinction est toujours claire. Ésaïe 2:11 :
Les yeux hautains d’Awdawm seront abaissés, et la hauteur des Enosh sera humiliée, et Yahweh sera seul haut élevé en ce jour-là.
En II Samuel 7:14, nous lisons :
Moi, je lui serai pour père, et lui me sera pour fils : s’il commet l’iniquité, je le châtierai avec une verge d’Enosh et avec des plaies des fils d’Awdawm.
S’il ne s’agissait pas de races distinctes, il n’y aurait aucune raison pour utiliser deux mots différents.
Les Enosh étaient mauvais, et c’est bien ce qu’il est écrit sur eux. Deutéronome 13:13 avertit :
Certains Enosh, fils de Bélial, sont sortis du milieu de toi, et ont incité les habitants de leur ville, disant : Allons, et servons d’autres dieux, des dieux que vous n’avez pas connus.
Quand ils prennent le pouvoir, ils sont des oppresseurs brutaux. Psaumes 10:17--18 nous dit :
Yahweh! Tu as exaucé le désir des humbles, tu as établi leur cœur; tu as prêté l’oreille, pour faire droit à l’orphelin et à l’opprimé, afin que l’Enosh qui est de la terre n’effraye plus.
Les Enosh ne possèdent pas de compréhension spirituelle, c’est la raison de leur constante méchanceté. Proverbes 28:5 dit :
Les Enosh adonnés au mal ne comprennent pas le juste jugement, mais ceux qui cherchent Yahweh comprennent tout.
Cette distinction est toujours en cours aujourd’hui. Daniel 12:10, parlant des temps de la fin, donc de notre époque, déclare :
… et aucun des méchants ne comprendra ; mais les sages comprendront.
Ce n’est pas tout. Yahweh classifie certaines races comme animaux, et leurs nations sont symbolisées par des bêtes dans de nombreuses prophéties. Que dites-vous? Que ce n’est pas ce que l’on vous a appris à croire? Examinons donc d’un peu plus près ce sujet et voyons ce qu’en dit la Bible. Lorsque Jonas alla finalement à Ninive, avec sa prophétie selon laquelle Yahweh avait l’intention de détruire la cité à cause de la méchanceté de ses habitants, ceux-ci le crurent. Ce n’est pas aussi surprenant que cela en a l’air, car les habitants de Ninive adoraient Dagon, le dieu-poisson. Ils avaient entendu dire que Jonas avait été rejeté de la mer par un poisson sur les côtes, ils pensaient donc que Jonas était un prophète envoyé par Dagon, et ils étaient tous prêts à le croire. Jonas chapitre 3 nous dit que le roi était tracassé :
Et il fit crier et dire dans Ninive, par un édit du roi et de ses grands, disant : Que les hommes, et les bêtes, le gros et le menu bétail, ne goûtent de rien ; qu’ils ne paissent pas et ne boivent pas d’eau ; et que les hommes et les bêtes soient recouverts de sacs. Et qu’ils crient à Yahweh avec force ; et qu’ils reviennent, chacun, de leur mauvaise voie et de la violence qui est en leurs mains. Qui sait? Yahweh reviendra et se repentira, et reviendra de l’ardeur de sa colère, et nous ne périrons pas. Et Yahweh vit leurs œuvres, qu’ils revenaient de leurs mauvaise voie ; et Yahweh se repentit du mal qu’il avait parlé de leur faire, et il ne le fit pas.
Quelle sorte de bêtes étaient-ce, qui se revêtaient de sacs, criaient à Yahweh et se repentaient de leur mauvaise voie? Les Écritures disent que c’était un commandement pour les hommes et les bêtes, et qu’ils y obéirent. Votre chien est-il si bien dressé? Qui donc étaient ceux que la Bible appelle des bêtes?
Examinons cela d’un peu plus près. En Genèse chapitre 9, Yahweh promet Sa protection à Noé et à sa famille. Au verset 5, Yahweh dit :
Et certes je redemanderai le sang de vos vies ; de la main de tout animal je le redemanderai, et de la main de l’homme.
Ces bêtes ont des mains comme les hommes! Mais il n’y avait pas de singes dans cette région. Ces bêtes avec des mains devaient donc être des hommes.
Dans Exode 19:12--13, lorsque le peuple d’Israël était rassemblé au pied du Mont Sinaï, alors que Moïse grimpait la montagne afin de recevoir les dix commandements de Yahweh, Yahweh l’avertit :
Et tu mettras des bornes pour le peuple, à l’entour, disant : Donnez-vous garde de monter sur la montagne et d’en toucher l’extrémité. Quiconque touchera la montagne sera certainement mis à mort : la main ne la touchera pas sans qu’elle soit lapidée ou transpercée ; bête, ou homme, ils ne vivront point.
Nous voyons que, bête ou homme, il ne fallait pas toucher la montagne avec la main.
Le second chapitre de la Genèse nous dit que Yahweh cherche une épouse convenable pour Adam et amène devant lui ce que la King James Bible appelle chaque bête des champs, afin de voir si une épouse pourrait être trouvée parmi elles. Pensez-vous réellement que Yahweh, sage comme Il est, va chercher parmi des femelles scorpion, des femelles crapaud, des femelles girafes ou des femelles éléphant une épouse convenable pour Adam? Bien sûr que non. Moïse n’écrivit pas de telles stupidités lorsqu’il rédigea le livre de la Genèse ; cette expression est uniquement l’œuvre des traducteurs. Dans l’hébreu originel, le récit a un sens et nous en dit long sur les autres races.
Il existe deux mots hébreux liés utilisés ici : khah-ee et khaw-yaw, chacun d’eux signifiant «une créature vivante». La signification est bien trop large pour être traduite simplement par bête ou animal, car elle inclut toute créature vivante, des microbes aux hommes. Là où la King James dit «bête des champs», le mot est toujours soit khaa-ee soit khaw-yah. Une bonne traduction serait donc «les êtres vivants de la région». Il est clair que ces êtres vivants incluent des hommes, car le même mot est appliqué à Adam en Genèse 2:7 :
Et Yahweh forma l’homme, poussière du sol, et souffla dans ses narines une respiration de vie, et l’homme devint une âme vivante.
En hébreu, cela se lit :
Et Yahweh Dieu forma le Awdawm de la poussière du sol et souffla dans ses narines le souffle de vie, et l’Awdawm devint nephesh khaw-yah [une créature respirant, possédant la vie].
Les bêtes des champs, les khaw-yah des champs, ou, plus correctement, les êtres vivants de la région, incluaient donc en fait les races pré-Adamiques.
Maintenant Genèse 2:18-20 a du sens. Yahweh vit qu’Adam avait besoin d’une épouse et, ne voulant pas condamner quiconque sans lui donner une chance de faire le bien, Yahweh chercha soigneusement parmi les races pré-Adamiques (africaines et asiatiques) pour voir si l’une de ces créatures femelles pourrait convenir à Adam et devenir la mère de la nouvelle race. Mais Il ne put trouver personne. En hébreu, il est dit :
Et Yahweh dit : Il n’est pas bon pour Awdawm d’être seul. Je vais lui fabriquer une aide, comme homologue. Et Yahweh forma du sol chaque être vivant des champs et chaque oiseau des cieux et les amena au Awdawm pour voir comment il les appellerait ; et le nom que l’Awdawm donna au nephesh khaw-yaw [une créature vivante possédant la vie], c’est son nom. Et l’Awdawm donna son nom à tout bétail et à tout oiseau des cieux et à toute créature vivante des champs ; et pour lui aucune aide ne fut trouvée pour être son homologue.
Yahweh savait que l’épouse d’Adam devait être son homologue, qu’elle devait posséder les mêmes qualités de compréhension spirituelle, être capable de transmettre à ses descendants les mêmes qualités pour lesquelles Yahweh plaça Adam dans le monde. Mais Yahweh ne put trouver parmi ces peuples pré-Adamiques aucun homologue pour Adam possédant ces qualités nécessaires.
Avant qu’il ne vous vienne à l’idée que je hais les autres races, examinons cela d’un peu plus près. La race noire a été sur la Terre depuis au moins 40.000 ans, car des squelettes négroïdes identifiables ont été découverts, qui peuvent être datés comme étant aussi anciens. Pourtant, pendant ces 40.000 années, il n’y a jamais eu de civilisation noire. Oui, je sais que quelques chefs tribaux noirs ont conquis d’autres tribus et se sont ainsi construit un royaume un peu plus grand. Mais il faut plus que la simple tyrannie d’un chef guerrier pour faire une civilisation, et c’est tout ce qu’ils pouvaient accomplir. Ne me parlez pas de l’Égypte. L’Égypte se trouvait en Afrique mais n’a jamais été noire. Les magnifiques portraits sous la forme de sculptures qui nous ont été laissés par les anciens Égyptiens montrent qu’ils étaient clairement un peuple de pure Race Blanche. Aux temps de la splendeur égyptienne, tout noir qui était trouvé au nord de la première cataracte du Nil était sommairement tué à vue afin de protéger la pureté raciale des Égyptiens.
Nous ne haïssons pas les noirs, nous désirons qu’ils soient bien nourris, bien habillés, logés confortablement et qu’ils ne soient pas en danger d’être mangés par d’autres noirs ; des choses qu’ils n’ont jamais pu obtenir excepté dans une civilisation créée et maintenue par l’Homme Blanc. Malgré toute la propagande, chaque noir aux États-Unis est bien mieux loti que ceux vivant en Afrique. Essayez donc d’en trouver un seul qui désire retourner dans une nation africaine! Mais ni les noirs ni les Blancs ne bénéficieront d’une civilisation dans une nation réduite aux standards de pensée des noirs. Si les noirs étaient capables le moins du monde de produire une civilisation, 40.000 ans ont été bien suffisants pour le faire.
Oui, je sais qu’en Asie, il y a 2.300 ans, Confucius enseigna quelques principes éthiques élevés, mais sans un mot de religion dedans. Je sais que la dynastie Ming a vu naître la production de belles pièces de porcelaine, mais qu’est-ce que ces choses ont fait de bon pour le peuple asiatique? Est-ce que cela leur a appris comment produire suffisamment de nourriture pour remplir ces bols de porcelaine? Est-ce que 2.300 ans de philosophie confucéenne n’est pas suffisant pour développer quelque chose de plus que de la pauvreté, de la maladie et de la misère? Encore une fois, l’esprit asiatique manque de la compréhension spirituelle que Yahweh savait être nécessaire. Les Asiatiques vivant aux États-Unis ne sont-ils pas mieux que ceux qui vivent dans la Chine Rouge, la Corée ou l’Asie du Sud-Est? Nous ne les haïssons pas, mais nous ne voulons pas qu’ils nous réduisent à leur propre niveau. C’est de cela que parle Yahweh dans la Genèse chapitre 2, lorsqu’Il dit que les autres êtres vivants de la région environnante ne pouvaient pas produire d’épouse acceptable pour Adam, comme son homologue.
Grâce à la compréhension spirituelle que Yahweh mit dans l’Awdawm, aujourd’hui la Race Blanche possède le plus haut degré de civilisation, le plus haut degré de liberté et les plus hauts standards de vie dans le monde. Les nations blanches sont appelées les nations possédantes. Nous n’avons pas haï les autres races, nous avons essayé de les aider, de leur montrer nos façons de faire. En dépit de tout cela, ils nous ont tous haï. Aux cours des siècles, lorsque nous étions très peu nombreux contre leur grand nombre, ils tentèrent de façon répétée de nous conquérir et de nous détruire. Le soin attentif de Yahweh pour Son peuple ne permit pas que cela se fisse, bien que, à plusieurs reprises, ils furent très près du succès.
Dans des pays riches en minéraux, ils se prélassent dans la saleté et la pauvreté, manquant totalement de l’esprit d’entreprise nécessaire pour bénéficier de l’énorme richesse qui gît sous leurs pieds. Dans des pays où un sol fertile et des pluies suffisantes couvrent le pays d’une végétation luxuriante, ils vivent dans une faim perpétuelle car ils sont trop stupides pour débroussailler et planter des cultures nourricières. Si nous leur fournissons le capital pour financer le déboisement de leur pays, afin qu’ils plantent et récoltent suffisamment de nourriture, ou bien pour qu’ils creusent et qu’ils raffinent le minerai se trouvant dans leur sol, ils nous maudissent car nous les exploitons. Mais si nous ne le faisons pas, ils nous maudissent parce que nous sommes indifférents à leur misère. Maintenant, par le moyen des Nations-Unies, où ils nous surpassent en nombre et en votes, ils planifient de régner sur nous, de nous piller, de nous mettre en esclavage et de nous réduire à leur niveau. Yahweh ne les a-t-Il pas classifiés comme Enosh, manquant totalement de la compréhension spirituelle nécessaire pour suivre Ses voies ?
Vous allez peut-être dire : «Tout cela est tiré de l’Ancien Testament, mais dans le nouveau Testament, Yahweh changea d’avis et maintenant tout est différent». Examinons donc ce que dit le Nouveau Testament sur eux. Dans son épître à Tite, rapporté en Tite 1:12, Paul dit :
Quelqu’un d’entre eux, leur propre prophète, a dit : ‘‘Les Crétois sont toujours menteurs, de méchantes bêtes, des ventres paresseux’’.
Le mot bête, ici, est le mot grec therion, signifiant «un animal dangereux». Jude 10 déclare :
Mais ceux-ci, ils injurient tout ce qu’ils ne connaissent pas, et se corrompent dans tout ce qu’ils comprennent naturellement comme des bêtes sans raison.
II Pierre 2:12 continue :
Mais ceux-ci, comme des bêtes sans raison, purement animales, nées pour être prises et détruites, parlant injurieusement dans les choses qu’ils ignorent, périront aussi dans leur propre corruption.
Ces Enosh étaient communément appelés chiens, à la fois dans l’Ancien et dans le Nouveau Testaments. Par exemple, Psaumes 22 est reconnu par tous les experts bibliques comme étant une prophétie de la première venue et de la crucifixion de Yahshua. Au verset 16, la Psaume déclare :
Car des chiens m’ont environné, une assemblée de méchants m’a entouré ; ils ont percé mes mains et mes pieds.
Yahweh ne se plaint certainement pas que des chiens à quatre pattes Lui ont aboyé dessus, et il n’existe aucun passage disant des choses pareilles. Il parle de ceux qui Le livrèrent pour être crucifié. L’utilisation de ce mot est courante dans le Nouveau Testament. En Philippiens 3:2, Paul dit :
Prenez garde aux chiens [juifs mauvaises-figues], prenez garde aux mauvais ouvriers, prenez garde à la concision.
Les chiens à quatre pattes ne sont pas plus des mauvais ouvriers que les chats ou les vaches. Paul et ceux à qui il écrivait savaient que ces chiens avaient deux pattes.
Si vous dites : «C’est de la discrimination entre les races», vous avez parfaitement raison. Quelqu’un vous a-t-il dit ce monstrueux mensonge selon lequel il n’est pas Chrétien de faire de la discrimination entre les races? Voyons ce que Yahshua fit. En Marc 7:25--29, nous lisons :
Car une femme dont la fille avait un esprit immonde, ayant ouï parler de lui, vint et se jeta à ses pieds (or, la femme était grecque, syrophénicienne de race) ; et elle le pria qu’il chassât le démon hors de sa fille. Et Yahshua lui dit : Laisse premièrement rassasier les enfants ; car il ne convient pas de prendre le pain des enfants et de le jeter aux chiens. Et elle répondit et lui dit : Oui, Seigneur, car même les chiens, sous la table, mangent des miettes des enfants. Et il lui dit : À cause de cette parole, va, le démon est sorti de ta fille.
Yahshua fit certes une discrimination, et ce n’est pas avant que la femme reconnaisse la justesse de cette discrimination qu’Il l’aida.
Elle Lui avait tout d’abord demandé de l’aide sur la même base que les Israélites, les vrais Awdawm. Sur cette base, elle n’y avait pas droit. Yahshua lui dit : «Laisse d’abord rassasier les enfants avec le pain de vie». Puis ils instaureront le royaume de Yahweh sur Terre, et de là, les bénédictions de Yahweh seront étendues à tous ceux qui peuvent les comprendre et les recevoir dans l’esprit adéquat. Dans cet entretien, Yahshua n’hésita pas à appeler les Enosh des chiens. Lorsque la femme indiqua qu’elle comprenait que les bénédictions viendraient aux autres par l’abondance que Yahweh offre à Ses propres enfants, alors Il lui dit qu’à cause de cette parole, Il avait guéri sa fille.
Yahshua avait soigneusement averti Ses disciples de ne jamais commettre l’erreur de ne pas discriminer, de ne jamais tenter d’amener les Enosh, qui ne peuvent pas comprendre, dans le royaume de Yahweh sur les mêmes bases que les Awdawm. En Matthieu 7:6, Il les avertit :
Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens, ni ne jetez vos perles devant les pourceaux, de peur qu’ils ne les foulent à leurs pieds, et que, se retournant, ils ne vous déchirent.
Ce sont des paroles fortes, oui, mais ce sont les commandements directs de Yahshua. Nous Lui avons désobéi, et maintenant nous faisons face aux terribles conséquences de cette désobéissance. Nous avons essayé de traiter les autres races comme des égaux. Nous avons attendu d’eux qu’ils apprennent les mêmes leçons que nous de notre religion, nous avons attendu d’eux qu’ils se comportent avec une certaine discipline quand ils se trouveraient avec un certain pouvoir entre leurs mains. Mais c’est exactement ce que Yahshua nous avait commandé de ne pas faire : «de peur qu’ils ne piétinent nos perles et se tournent vers nous et nous déchirent». De nos technologies avancées, ils ne désirent apprendre que comment faire des armes pour les tourner contre nous. En fait, ils se servent de la nourriture même que nous leur envoyons comme une arme contre nous, car les surplus de nourriture leur permettront de retirer leurs hommes de leurs fermes et de les placer dans des armées ou dans des fabriques d’armes. Fortifier ainsi nos ennemis n’est rien d’autre que du suicide.
À Ses disciples, Yahshua dit, en Jean 14:16--17 :
Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, pour être avec vous éternellement, l’Esprit de vérité, que le monde ne peut pas recevoir, parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas ; mais vous, vous le connaissez, parce qu’il demeure avec vous, et qu’il sera en vous.
Il était donc tout-à-fait logique de parler de ceux dont l’esprit manque de compréhension comme de bêtes, à cause de leur nature.
Dans le Livre de Daniel, le prophète trace la montée et la chute de quatre grands empires mondiaux dirigés par ces peuples. Premièrement, il interprète le rêve de Nebucadnetsar sur la grande image dont la tête est en or, la poitrine et les bras en argent, le ventre et les cuisses en bronze et les pieds en fer, comme prophétisant la domination successive de quatre grands empires. La Babylone de Nebucadnetsar était le premier d’entre eux, la tête d’or et les autres étant l’empire Médo-Perse, l’empire d’Alexandre et Rome. Dans le chapitre 7, Daniel a une vision de quatre bêtes remarquables, se hissant l’une après l’autre hors de la mer. Nous savons que dans la prophétie, la mer représente l’humanité en général, tous les peuples, dont la grande majorité sont des Enosh, les races pré-Adamiques. D’eux vinrent les quatre bêtes. La première, un lion, symbolisait Babylone, comme la tête d’or de l’image ; la seconde, un ours, symbolisait les grands empires de Médie et de Perse. La troisième, un léopard, représentait l’empire d’Alexandre le Grand, qui était rapide comme le léopard dans ses attaques. Enfin, la quatrième bête, une bête terrible avec des dents de fer, dix cornes [provinces] et une grande force, symbolisait Rome. C’était exactement la même série, dans le même ordre, que dans l’image du rêve de Nebucadnetsar. Sa répétition confirmait la nature prophétique du rêve.
Comme confirmation supplémentaire, dans le Livre de la Révélation, nous retrouvons une bête, représentant ces empires mondiaux se hissant hors de la mer. En Révélation chapitre 13, on nous dit que cette étrange bête a la gueule d’un lion, les pieds d’un ours, mais sinon ressemble à un léopard. Mais elle a dix cornes, comme la quatrième bête que Daniel avait vue. Le fait que les caractéristiques des quatre sont maintenant combinées en une seule bête nous montre que les quatre grands empires n’avaient qu’une seule origine, qu’ils étaient tous des manifestations d’un même pouvoir satanique, tous provenant de la mer des races pré-Adamiques. Ils arrivèrent au pouvoir en sécession, chacun gagnant un pouvoir énorme sur des peuples vivant sur de grandes zones géographiques. Le règne de chacun fut terrible, tyrannique, brutal, chacun un peu plus que son prédécesseur. La planification humaine, la capacité humaine à mettre ces plans en place, l’habileté humaine de juger ce qui était nécessaire pour diriger un empire, cela ils le possédaient. Mais la compréhension spirituelle, la capacité à recevoir les pensées de Yahweh, la capacité à organiser et à diriger une nation sous les lois de Yahweh, cela ils ne le possédaient pas.
La Révélation chapitre 13 montre que cette bête composite a pris son pouvoir du dragon, Satan. Ces empires ont certainement démontré leur caractère satanique. Finalement, afin d’être sûr que cette vision ne soit pas mal interprétée, Révélation 13:18 conclut :
Ici est la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête, car c’est un nombre d’homme.
Si ces bêtes représentaient des nations d’hommes, pourquoi les symboliser par des bêtes? Nous avons vu que les prophètes de Yahweh, et même Yahshua, appelèrent franchement certaines races des bêtes. Une nation faite de Chinois doit être une nation chinoise, une nation faite de noirs doit être une nation noire. Une nation faite de ceux que la Bible appelle bêtes doit donc être une nation de bêtes, et c’est bien ce qu’il est dit.
La chute de l’Empire Romain fit cesser uniquement la vaste étendue de pouvoir aux mains de ceux qui servaient Satan. Elle ne fit pas cesser leur désir de reconquérir ce pouvoir, ni leur lutte en ce sens. Le Livre de la Révélation montre donc une continuation de cette lutte pour le pouvoir, portée par une nouvelle bête. Jusqu’à la seconde venue de Yahshua, cette bête fait la guerre contre Lui mais elle est conquise par Yahshua à la fin. Nous observons cette lutte pour le pouvoir se passer sous nos yeux aujourd’hui. Les peuples non-Adamiques, maintenant organisés en de nombreuses nations, de façon à multiplier leur pouvoir électoral aux Nations-Unies, où les tribus cannibales d’Afrique à elles seules constituent environ 30 nations, 30 votes contre un seul pour nous!
Il n’y en a pas une seule qui soit de notre côté. De temps en temps, elles trouvent leur avantage à quelque chose que nous voulons aussi accomplir, et à cette occasion elles votent avec nous. Mais le jour suivant, soit elles proclament leur neutralité dans notre lutte pour la survie d’un monde libre, avec lequel elle n’éprouvent aucune sympathie, soit elles supportent activement la Russie contre nous. Il est inévitable que ceux qui sont de la même race, de la même origine, possédant les mêmes qualités, les mêmes ambitions et idéaux, s’alignent ensemble, œuvrant dans un même but. Dans les grands empires mondiaux du passé, Babylone, Médo-Perse, le court empire d’Alexandre et finalement Rome, ils eurent ce qu’ils voulaient, un système qui exprimait leur véritable caractère. Ils veulent aujourd’hui restaurer ce système, et les Nations-Unies ont été faites dans ce but, comme l’a prophétisé Yahweh. En Révélation 13:14, on nous dit que la nouvelle bête
séduit ceux qui habitent sur la terre, à cause des miracles qu’il lui fut donné de faire devant la bête, disant à ceux qui habitent sur la terre de faire une image à la bête qui a la plaie de l’épée et qui a repris vie.
Ils cherchent à faire des Nations-Unies un empire mondial, tout comme ceux de Babylone et de Rome, mais en plus grand. Un empire qui écrase et domine toutes les nations, dictant sa volonté par la force brute, comme nous l’avons vu au Congo. Un empire qui répudie le seul vrai Dieu, où le nom de Yahshua ne peut être mentionné car il offense ceux qui Le haïssent et où la seule référence à une divinité est une statue du dieu païen Zeus, dans le hall d’entrée.
Un empire dirigé par ceux que la Bible appelle des bêtes, car ils surpassent en nombre la Race Blanche dans une proportion de 8 contre 1 en termes de pouvoir électoral. Bien que nous constituions 1/6e de la population mondiale, par ce numéro de jonglage des votes nous somme réduits au 1/9e de la puissance électorale. Lorsque nous examinons leurs plans de développement du pouvoir mondial, nous commençons à comprendre l’effroyable prophétie sur les jours à venir, quand aucun homme ne pourra acheter ou vendre à moins d’avoir la marque de la bête, ou son nom.
Néanmoins, le retour de Yahshua mettra fin à leurs plans, leur pouvoir sera détruit et ils seront remis à leur place. Cette place n’inclut pas la direction des nations : cela a amené de trop nombreux millénaires de misère et de chagrin. À la fin, lorsque la Nouvelle Jérusalem de Yahshua sera bâtie sur la Terre, on nous dit, en Révélation 22:14--15 :
Bienheureux ceux qui lavent leur robe, afin qu’ils aient droit à l’arbre de vie et qu’ils entrent par les portes dans la cité. Dehors sont les chiens, et les magiciens, et les fornicateurs, et les meurtriers, et les idolâtres, et quiconque aime et fait le mensonge.
Cela ne signifie pas que vous pourrez avoir votre chat, votre canari ou votre poisson rouge alors que votre toutou sera exclu. Non : ces chiens, dont parle Yahshua, sont des humains.
Discrimination, dites-vous? Bien entendu! Du début à la fin, de la Genèse à la Révélation, Yahweh a commandé la discrimination. Je ne m’opposerais pas à Lui, même si je le pouvais.
Note critique de Clifton A. Emahiser
Dans cette leçon sur Homme et Bête, Comparet fait de nombreuses observations remarquables, sur lesquelles nous ferions bien, tous, de réfléchir. Peu d’hommes, dans l’Identité Israélite, ont fait un aussi bon travail sur le sujet. Je ferai cependant quelques remarques concernant certaines prémisses sur lesquelles je ne suis pas d’accord. D’un autre côté, je soulignerai aussi certaines de ses observations, qui sont exceptionnelles. Comparet fait cette remarque :
«Nous ne haïssons pas les noirs, nous désirons qu’ils soient bien nourris, bien habillés, logés confortablement …».
Il poursuit :
«Nous n’avons pas haï les autres races, nous avons essayé de les aider, de leur montrer nos façons de faire».
C’est une position dangereuse. William Finck écrivit, dans une lettre à Ted R. Weiland, datée du 19 août 2005, ce qui suit :
«Ce n’est pas sans raison qu’il est écrit en Ecclésiaste (Σοφια Σειραχ) 12:5--6 : ‘‘Fais du bien à celui qui est humble, mais ne donne pas à l’impie ; garde ton pain, et ne lui donne pas, de peur qu’il ne te domine : car sinon tu recevras deux fois plus de mal pour tout le bien que tu lui as fait. Car le Très-haut hait les pécheurs et rendra vengeance à l’impie, et les gardera pour le jour puissant de leur punition’’.
«En partageant le ‘‘pain de vie’’, la Parole de Yahweh, avec les autres races, nous faisons en sorte qu’ils nous dominent par ce moyen. Ils forcent des interprétations universalistes grâce à des expressions comme ‘‘quiconque’’ et ‘‘tous les hommes’’, des expressions qui ne furent jamais destinées aux autres races, trompant les brebis et les emmenant dans une communion illégitime et dans la fornication, qui est le mixage racial (Jude 7, I Cor. 10). En réalité, le mot ‘‘homme’’ ne devrait être appliqué qu’aux fils d’Adam (Romains 5:14, I Cor. 15:22--45, Σοφια Σειραχ 40:1), et les autres races n’ont rien à voir dans l’utilisation biblique du terme ‘‘Adam’’!».
Dans sa présentation, Comparet dit très bien :
«Maintenant, par le moyen des Nations-Unies, où ils nous surpassent en nombre et en votes, ils planifient de régner sur nous, de nous piller, de nous mettre en esclavage et de nous réduire à leur niveau».
Il fait de nouveau une observation excellente, lorsqu’il dit :
«Ces Enosh étaient communément appelés chiens, à la fois dans l’Ancien et dans le Nouveau Testaments. Par exemple, Psaumes 22 est reconnu par tous les experts bibliques comme étant une prophétie de la première venue et de la crucifixion de Yahshua. Au verset 16, la Psaume déclare : ‘‘Car des chiens m’ont environné, une assemblée de méchants m’a entouré ; ils ont percé mes mains et mes pieds’’. Yahweh ne se plaint certainement pas que des chiens à quatre pattes Lui ont aboyé dessus, et il n’existe aucun passage disant des choses pareilles. Il parle de ceux qui Le livrèrent pour être crucifié. L’utilisation de ce mot est courante dans le Nouveau Testament».
Quoique les Romains aient procédé à la crucifixion de Yahshua, les juifs mauvaises-figues étaient légalement responsables de cet acte. Les juifs mauvaises-figues sont donc dans la catégorie des «bêtes» plutôt que dans celle des «hommes». Lorsque nous parlons des «Juifs», nous devrions en fait les désigner par le terme de «juifs mauvaises-figues», par rapport aux «Judéens bonnes-figues», qui étaient de la tribu racialement pure de Juda.
Comparet fait aussi une bonne citation de Philippiens 3:2 :
«En Philippiens 3:2, Paul dit : ‘‘Prenez garde aux chiens [juifs mauvaises-figues], prenez garde aux mauvais ouvriers, prenez garde à la concision’’. Les chiens à quatre pattes ne sont pas plus des mauvais ouvriers que les chats ou les vaches. Paul et ceux à qui il écrivait savaient que ces chiens avaient deux pattes».
Ensuite, Comparet se contredit en disant :
«Puis ils instaureront le royaume de Yahweh sur Terre, et de là, les bénédictions de Yahweh seront étendues à tous ceux qui peuvent les comprendre et les recevoir dans l’esprit adéquat».
En un autre endroit, Comparet fait cette observation :
«Finalement, afin d’être sûr que cette vision ne soit pas mal interprétée, Révélation 13:18 conclut : ‘‘Ici est la sagesse. que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête, car c’est un nombre d’homme’’».
Plus loin, Comparet ajoute :
«Lorsque nous examinons leurs plans de développement du pouvoir mondial, nous commençons à comprendre l’effroyable prophétie sur les jours à venir, quand aucun homme ne pourra acheter ou vendre à moins d’avoir la marque de la bête, ou son nom».
Il faut noter que, bien que Comparet ait fait un excellent travail sur le Livre de la Révélation dans sa série en quatorze leçons, il rata le coche en n’identifiant PAS la seconde bête de Révélation 13 comme identique à celle de Daniel 7:24--26. Ces deux passages prophétisent plutôt le futur règne de Justinien Ier et son influence dans la mise en place de la papauté, qui, à son tour, dicta sa volonté aux rois d’Europe, et qui dura 1.260 ans. La fonction de pape est le monsieur 666 des Écritures ; cela ne parle pas d’un futur antichrist. La seconde bête de la Révélation est maintenant du passé. C’est de l’Histoire!
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